dimanche 20 mai 2012

Veux-tu être mon ami?

De retour de 4 jours au frais (froid) à la campagne. 4 jours coupés du monde dans un petit village de 800 habitants où les rues sont rarement fréquentées. 0 commerce. 0 vie sociale. Je ne dis pas ça d'un ton amer, car je suis la première à apprécier cette coupure salutaire. Il y a bien nos voisins bien-sûr, avec lesquels nous entretenons de très bonnes relations. Mais ça s'arrête là. Et ça contraste parfaitement avec la sociabilisation un peu too much de Toulouse. 
La Ville Rose, c'est super grand, y a plein de trucs à faire et y a plein de monde. Sauf que c'est petit en même temps, car on a cette sensation typiquement associée à la vie des villages : on connait tout le monde. Dans le centre-ville de Toulouse, assez vaste pourtant, on s'y promène rarement sans y croiser une connaissance. C'est le côté sympa de cette ville ultra vivante. Quand ça ne va pas, un simple sourire ou un "bonjour", ou encore un brin de causette redonne le moral. Et moi ça me va très bien, car j'adore ça. J'ai toujours recherché ardemment le contact avec les autres, et je l'entretiens autant que possible. Il faut aimer ça, certaines personnes n'apprécient pas forcément cela.
Mais qui dit contacts amicaux dit aussi beaucoup de monde dans les rues, du bruit, de la pollution... C'est le jeu ma pauv'Lucette! On n'a rien sans rien! Alors l'idéal c'est, de temps en temps si c'est possible, partir... Pour mieux revenir!

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