Ellie

Et aujourd'hui, j'ai encore craqué pour une "pseudo kokeshi", mais version petites filles. Ce sont les Kimmie Junior, un peu moins spirituelles, mais tout aussi adorables. Elle ne délivrent pas véritablement de messages philosophiques profonds, mais sont chacune affublée d'une date de naissance et de quelques traits de caractère spécifiques. Elles sont très colorées, de style un peu plus naïf que les Kimmidolls (et plus grandes), et sont en résine (pleine, donc elles sont lourdes et massives). J'ai mis plus d'une demi-heure à choisir la mienne : elles étaient toutes plus ravissantes les unes que les autres! 

Nagisa

Avez-vous entendu parler des KIMMIDOLLS? Le nom peut-être ne vous dit rien mais vous avez sans doute croisé les bouilles colorées de ces adorables figurines au-travers de vos excursions citadines.

Elles sont directement inspirées des traditionnelles poupées Kokeshi japonaises, et véhiculent un message de vie.

A force de passer devant, et comme elle n'arrêtaient pas de me faire de l’œil, j'ai fini par craquer. Voici la mienne, c'est un petit format...

Mùgsefjun

Voici un des derniers titres composés par le groupe islandais Mùgsefjun, dont fait partie un de mes amis (islandais lui aussi). Ils viennent de sortir leur deuxième album. J'ai naturellement un peu de mal à comprendre le sens des paroles de leurs chansons, mais je m’accommode déjà bien de leur musique variée, pleine d'énergie et totalement unique en son genre.

Danse Country

Pendant le week-end de l'Ascension, j'ai eu l'occasion d'apprendre quelques pas de danse country grâce à nos voisins qui sont inscrits à un club depuis peu. J'ai vraiment accroché! C'est un peu dans le style du Madison, mais en plus élaboré et beaucoup plus varié. Je connais déjà 4 danses, apprises en une après-midi. En attendant d'en apprendre d'autres!

Au début, ça parait assez compliqué car les enchaînements sont parfois un peu longs. Mais une fois qu'on a pigé le truc, avec un minimum de sens du rythme, ça le fait! La musique country est vraiment sympa et entraînante. Du coup, j'ai initié les 2 ptits gars qui me regardaient en chien de faïence quand je dansais. Ils s'en sortent super bien et adorent ça!

Je sens donc venir les petites soirées conviviales de danse country entre amis ou en famille. C'est une discipline qui rassemble, apporte tout plein de bonne humeur, et c'est du sport en plus! Ça change des activités habituelles, une vraie richesse pour les enfants!

J'ai dégoté une vidéo qui s'apparente assez bien à ce qu'on fait en ce moment...

On aurait pu être célèbre...

Aujourd'hui, pluie historiquement diluvienne. Des tonnes de trombes d'eau permanentes! On a rarement été autant trempés pendant un trajet d'école. Les bottes en caoutchouc et les impers hypra déperlants étaient largement de rigueur. Ça dure déjà depuis plusieurs jours, et en ce moment-même, ça persiste encore!!

A part ça, mon grand a été filmé tout à l'heure dans sa classe à l'occasion des évaluations nationales de CM2 : pour le JT de 20H! D'après ses dires, il a été filmé un bon moment en gros plan et on s'attendait naturellement à le voir distinctement pendant le reportage. Que nenni! On a vu son meilleur copain de près, quelques autres élèves pendant une fraction de secondes, puis sa maîtresse a dit 2 phrases... Décevant donc! D'autant que j'avais pris soin auparavant d'avertir le monde entier de son futur passage quasi événementiel à la télé. J'ai tout-de-même fait une tentative d'enregistrement via la TV d'Orange, histoire de garder quelques souvenirs!

Veux-tu être mon ami?

De retour de 4 jours au frais (froid) à la campagne. 4 jours coupés du monde dans un petit village de 800 habitants où les rues sont rarement fréquentées. 0 commerce. 0 vie sociale. Je ne dis pas ça d'un ton amer, car je suis la première à apprécier cette coupure salutaire. Il y a bien nos voisins bien-sûr, avec lesquels nous entretenons de très bonnes relations. Mais ça s'arrête là. Et ça contraste parfaitement avec la sociabilisation un peu too much de Toulouse. 

La Ville Rose, c'est super grand, y a plein de trucs à faire et y a plein de monde. Sauf que c'est petit en même temps, car on a cette sensation typiquement associée à la vie des villages : on connait tout le monde. Dans le centre-ville de Toulouse, assez vaste pourtant, on s'y promène rarement sans y croiser une connaissance. C'est le côté sympa de cette ville ultra vivante. Quand ça ne va pas, un simple sourire ou un "bonjour", ou encore un brin de causette redonne le moral. Et moi ça me va très bien, car j'adore ça. J'ai toujours recherché ardemment le contact avec les autres, et je l'entretiens autant que possible. Il faut aimer ça, certaines personnes n'apprécient pas forcément cela.

Mais qui dit contacts amicaux dit aussi beaucoup de monde dans les rues, du bruit, de la pollution... C'est le jeu ma pauv'Lucette! On n'a rien sans rien! Alors l'idéal c'est, de temps en temps si c'est possible, partir... Pour mieux revenir!

Foresti vs Adjani

Excellent Foresti dans la peau d'une Adjani survoltée... A découvrir absolument!

Bijoux Swatch

Ça y est, ça me reprend, je retombe dans ma folie acheteuse de bijoux fantaisie aux couleurs acidulées. Après ma période Bijoux gourmands, je retrouve mes anciennes amours, les bijoux de chez Swatch. On connait davantage les montres de cette marque suisse, originales et colorées. Les bijoux sont dans le même esprit.

Il y a 2 ans déjà, je craquai pour cette parure (sans les boucles d'oreille)...

Et cette bague, repérée en 2009 sur un magazine de salle d'attente, quand j'étais enceinte de ma fifille : un vrai coup-de-foudre!

Je les ai ressortis récemment, effet printanier oblige! Du coup, en allant fouiner sur le web, j'ai de nouveau craqué sur des modèles plus ou moins récents.

Celui-ci, par exemple, vieux de 2008, est très difficile à trouver sur les sites de vente en ligne français :

Les modèles suivants sont plus récents par contre...

Ces bijoux sont en acier inoxydables et je peux dire qu'après avoir "testé" nombre de bijoux fantaisie de mauvaise qualité, ceux-ci sont très solides. D'où le prix un peu plus conséquent, mais à mon avis amplement justifié. Compter une cinquantaine d'euros pour un collier, 35 euros pour une bague, 40 et quelques euros pour un bracelet. Les parures sont vraiment très réussies et font beaucoup d'effet; la preuve, j'ai eu moi-même beaucoup de remarques positives!

(A l'approche de la fête des mères ou de mon anniversaire, je ne sais pas pourquoi, les idées fusent!)

(C'est tous les ans pareil...)

Il fait chaud! Help!

La chaleur est arrivée la semaine dernière avec une intensité fulgurante! En l'espace de 2 jours, on est passé de températures fraichement printanières et de saison à un soleil de plomb et une ambiance carrément estivale! Apparemment, ce n'était pas du tout le cas dans le Nord, plutôt le contraire même...

Pour la première fois de l'année, j'ai été obligée de me doucher à l'eau glacée en pleine nuit... Voilà pourquoi je redoute tant cette période de l'année : parce que quand on habite en plein centre-ville d'une grande agglomération telle que Toulouse, l'été devient aussi pénible qu'insupportable. Plus de sommeil, plus d'énergie, motivation en berne... Voilà à quoi ça s'apparente en ce qui me concerne. En plus, il paraitrait que la brique rose absorbe davantage la chaleur et transforme ainsi la ville en étuve! Comme si on avait besoin de ça! Le clou du clou, c'est que notre appartement (qui a le don de conserver intacte toute la chaleur qui rentre) est cerné par un boulevard et par 2 rues très passantes qui sont tout ce qui se fait de plus bruyant dans un centre-ville : bagnoles, terrasses de resto, fêtards éméchés, camions-poubelles matinaux... Inutile de préciser qu'il est quasiment impossible d'aérer la nuit, sous peine de passer une nuit encore plus blanche.

Heureusement, et c'est ce qui nous sauve, on a un pied-à-terre à la campagne, qui nous permet de renouer momentanément avec la "vie", le temps d'un week-end ou pendant les grandes vacances.  

" Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté."

Hier, la fraîcheur est revenue, aussi subitement qu'elle était partie. On a du perdre 10 ou 15 degrés d'un coup. Pourvu que ça dure encore un peu! Après l'ambiance caniculaire de la semaine dernière, je redoute déjà l'arrivée de l'été...

D'actualité

Le poète s'en va dans les champs; il admire,
Il adore, il écoute en lui-même une lyre;
Et, le voyant venir, les fleurs, toutes les fleurs,
Celles qui des rubis font pâlir les couleurs,
Celles qui des paons même éclipseraient les queues,
Les petites fleurs d'or, les petites fleurs bleues,
Prennent, pour l'accueillir agitant leurs bouquets,
De petits airs penchés ou de grands airs coquets,
Et, familièrement, car cela sied aux belles:
-Tiens! c'est notre amoureux qui passe!- disent-elles.
Et, pleins de jour et d'ombre et de confuses voix,
Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois,
Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables,
Les saules tout ridés, les chênes vénérables,
L'orme au branchage noir, de mousse appesanti,
Comme les ulémas quand paraît le muphti,
Lui font de grands saluts et courbent jusqu'à terre
Leurs têtes de feuillée et leurs barbes de lierre,
Contemplent de son front la sereine lueur,
Et murmurent tout bas: C'est lui! c'est le rêveur!

Les Roches, juin 1831. 

(Victor Hugo, Les Contemplations)

Michel Guidoni

C'est ma révélation d'aujourd'hui. On connaissait cet excellent imitateur qu'a toujours été Laurent Gerra. Dans un style différent, mais non moins intéressant, Michel Guidoni a également un talent hors pair. Ses imitations de Sarkozy et Hollande, hyper d'actualité, sont excellentes. Celle de Hollande, notamment, totalement inédite, est époustouflante...

Baba... Yaga!

J'aime les paroles gourmandes (et non moins coquines) de cette chanson de Gainsbourg, chantée par Birkin. Avec les sonorités particulières de son accent, elle apporte une dimension encore plus "crémeuse" à la chanson. La simple lecture du texte donne l'eau à la bouche...

(Serge Gainsbourg/Jean-Claude Vannier)

Je cherche un p'tit papa gâteau qui m'ferait des langues de chat
Afin qu'mes nuits s'éclairent au chocolat

J'aimerais bien un p'tit biscuit Lu dans le courrier du
Cœur de palmier qui devant moi serait baba

Je cherche un p'tit papa gâteau qui m'ferait des langues de chat
Afin qu'mes nuits s'éclairent au chocolat

Je n'ai que faire d'un diplomate à galette, d'une pâte
Brisée qui devant moi serait baba

Je cherche un p'tit papa gâteau qui m'ferait des langues de chat
Afin qu'mes nuits s'éclairent au chocolat

Hier, j'avais un nègre en chemise, un délice
Antillais qui de mon amour parfait se moqua

Je cherche un p'tit papa gâteau qui m'ferait des langues de chat
Afin qu'mes nuits s'éclairent au chocolat

Il faisait que m'balancer des tartes, des gaufres, des beignets
J'en restais sur le flanc, j'étais baba

Je cherche un p'tit papa gâteau qui m'ferait des langues de chat
Afin qu'mes nuits s'éclairent au chocolat

Je voudrais bien d'un puits d'amour qui viendrait entre mes bras
Et sous lequel je serais baba. 

Pour l'anecdote... Des Iphone Cupcakes !

Des hauts et débats

C'est incroyable les ravages que peut faire la politique sur les relations humaines. Dernièrement, je l'ai appris à mes dépens... 

Premier constat, il vaut mieux ne JAMAIS évoquer ses idées politiques en public. Les réseaux sociaux sont pour cela très ambigus, car on a tendance à s'y lâcher un peu trop : écrire ses idées tout seul chez soi avec du temps pour y réfléchir est plus facile qu'un dialogue oral avec des propos spontanés. Du coup, lorsqu'on est amenés à justifier ses idées de vive voix, on est souvent en décalage par rapport à nos brillants raisonnements écrits. On ne trouve pas les bons mots, les arguments justes, les chiffres exacts...

Deuxième constat, la tentative de convaincre un opposant que ses idées sont mauvaises est forcément vaine. On peut avancer les meilleurs arguments du monde, les plus convaincants, cela ne modifiera en rien les idées bien ancrées d'une personne; souvent, ces mêmes idées sont le résultat d'un formatage de l'esprit datant de la plus tendre enfance, et sont rarement interchangeables. On peut faire réfléchir, oui, mais modifier une pensée politique, c'est purement et simplement de l'utopie. En gros, ça ne sert à rien de débattre. Même le débat présidentiel, pourtant d'un haut niveau, n'a à mon avis pas changé la donne. 

Disons simplement que le débat d'idées soulage et nous conforte dans nos positions. C'est un vrai défouloir. Un ring de boxe. Et il existera toujours car il est terriblement humain!

...

Co Incidences

Je ne crois pas particulièrement aux phénomènes surnaturels. Pourtant, la survenue ponctuelle de certains événements poussent parfois à réfléchir...

Pas plus tard que ce matin, ma fille aborde avec moi le sujet de sa sortie de la veille à la bibliothèque avec la garderie, et je lui demande de me citer les prénoms des enfants qui sont venus avec elle. Elle me parle d'une petite fille... qui porte curieusement le prénom d'un de nos amis peintres! Amusante façon d'éluder la question! A cet instant, le téléphone sonne, mon fils répond. C'est l'ami peintre en question...

Mon sujet de Master portait sur un concert donné par Beethoven en 1808. Je n'ai pas entièrement validé ma 2e année car je n'ai pas soutenu mon mémoire devant jury. C'était en 2008. Depuis ce temps, il m'arrive souvent de regarder l'heure au moment exact où le cadran indique 18h08 (comme 1808, la date du concert). Comme un rappel du travail que je dois achever.

Enfin, restons dans le même domaine, je devais aller écouter un concert tout Beethoven à la Halle aux Grains avec mon chéri et une amie, le 15 mai 2008. Je me réjouissais beaucoup d'y aller, notamment parce que le programme se rapprochait du sujet de mon travail de l'époque (année du Master 2). Je nourrissais (et je nourris toujours) une admiration et un amour sans limite à mon compositeur favori, auquel je consacrais énormément d'heures de recherches. Je me sentais si proche de lui que la perspective de ce concert était surtout une rencontre avec lui.

Sur le trajet de l'aller, le ciel s'assombrissait toujours plus, promettant un bel orage. Le concert a commencé, impeccable, j'étais sur un petit nuage. Pourtant, le bruit de la pluie au-dehors, puis de la grêle, devenait de plus en plus assourdissant. Mais soudain, quelques personnes se sont levées et les musiciens se sont arrêtés : le toit était transpercé et, cas rarissime, il pleuvait dans la salle! La salle a bien entendu été aussitôt évacuée. J'étais très frustrée évidemment, mais également songeuse : j'y ai vu de façon évidente un signe du ciel...

Plus d'infos ICI sur cet orage sans précédent

Kennedy pour la vie!

Un petit point sur mon actualité de lectrice assidue...

J'ai le plaisir de dévorer en ce moment "La poursuite du bonheur" de Douglas Kennedy, après son très marquant et magnifique "Quitter le monde".

Encore une fois, je n'ai pas été déçue par cet auteur : toujours autant de virtuosité, de verve, de richesse dans l'écriture. Parentalité, complexité des relations fraternelles, amour passionnel, conventions sociales, politique, souffrance, désespoir, deuil, bonheur... Autant de sujets qui nous touchent et qui nous sont proches d'une manière ou d'une autre. Il a le talent et la grande capacité de capter notre intérêt du début jusqu'à la fin, quoiqu'il advienne dans le récit. Les détails et les descriptions sont modérés, jamais dans la lourdeur, mais sont un concentré d'informations. Les personnages sont attachants, bien réels, accessibles. On s'identifie facilement à eux. Les dialogues sont décapants, bien rythmés.

Ce roman nous remue, fait réfléchir, bouscule nos émotions. A découvrir donc, excellent roman d'un très grand auteur.

D'humeur poétique...

Ma fille est une contemplative...

C'est à-travers tes yeux que j'ai lu mon autre moi-même
Âme ressuscitée par ton regard vibrant
S'abandonnant à la folie des sentiments
Un cœur toujours radieux malgré les matins blêmes

Tu m'as souri
D'un amour si sincère, si pur
Ôtant de mon être toute pensée obscure
Tu m'as sauvée, ma douceur, ma mie

A elle, à eux

A mes enfants

A vous de juger !

L'amour, ça se cuisine tous les jours

En règle générale, un long week-end de pont en grande partie pluvieux incite volontiers à faire de la pâtisserie avec ses marmots...

Pour nous, c'était simplement tarte aux fraises et crêpes. 

J'ai demandé à mon N°2 de me donner un petit coup de main, sachant qu'il est toujours plein de bonne volonté pour aider, dans tous les domaines. Enfin... Il est surtout partant lorsque lesdits domaines concernent des activités difficiles, inhabituelles, valorisantes (des trucs d'adulte, quoi). Ainsi, il est rarement transporté de joie à l'idée de ranger ses affaires par exemple. Et nettement moins spontané. Par contre, il m'a déjà proposé de passer l'aspirateur à ma place. Si si! Et demandé de façon tellement insistante en plus que je n'ai eu d'autre choix que d'accepter... 

C'est donc tout naturellement que mon fiston a accepté de m'aider pour la pâte à crêpes. Et pour la première fois, je me suis dit qu'il était bien assez grand maintenant (7 ans) pour réaliser une recette tout seul. Il sait bien lire (car il est déjà en CE1), il est habile de ses 20 doigts et a conscience des dangers (quand ça l'arrange). Lorsque je lui ai annoncé qu'il serait assisté mais autonome, il a ouvert ses grands yeux et n'a pu réprimé un petit sourire plein de fierté. 

Au début, il avait quelques hésitations et posait beaucoup de questions : "c'est quoi une terrine?" (normal, j'emploie ce mot plutôt rarement), "combien je verse de lait?" (apprentissage de la lecture des ingrédients avec notions de mesure, que du bon!). Il a fini par prendre de l'assurance et s'est débrouillé comme un chef. En plus, j'avais de la main d’œuvre pour la cuisson des crêpes, puisqu'il a insisté lourdement pour cuire la pâte lui-même dans sa propre poêle. Bon on n'a pas été assez experts pour les faire sauter, mais dans l'ensemble elles étaient présentables. En même temps, comment apprendre à un enfant un geste que l'on ne maîtrise pas...

On s'est régalés!! La préparation était parfaite, à une exception près : j'ai dû récupérer la texture fortement grumeleuse de la pâte au mixer (ce que je fais systématiquement en fait, même quand c'est moi qui m'y colle).

Fier comme un bar-tabac qu'il était, mon cher petit! Et comme il aime et en redemande, des petits moments comme ça privilégiés rien que tout seul avec Maman (ou Papa). Et en tant qu'enfant du milieu dans la fratrie, il est d'autant plus demandeur d'affection et de reconnaissance...